Bonjour à vous qui me rendez visite.

De Saint-Mard à Brignoles…

Voici quelques bribes de ma vie, que certains connaissent… ou pas ! J’habite Saint-Mard depuis ±40 ans, étant marié depuis 1977 à France Gillardin, la fille du garde champêtre. Je suis le Papou de cinq petites-filles et d’un petit-fils.

J’ai travaillé dans beaucoup de lieux et avec des occupations très différentes, au hasard des pérégrinations et obligations de la vie. Entre autres j’ai travaillé dans les assurances, pour l’Institut du Logement, dans un bureau d’études virtonnais, comme homme à tout faire à l’école spéciale de Saint-Mard (pour ne pas aller chômer!), comme chauffeur de poids lourd international (toujours pour ne pas devoir chômer), dans un bureau d’études luxembourgeois, dans une société de parachèvement.

J’ai même ouvert une friterie à Brignoles dans le sud de la France, expérience inoubliable! Lors de ce séjour dans le sud, j’ai été initié à la culture et à l’entretien de la vigne ainsi qu’aux vendanges comme porteur et cueilleur. Je recommande à tous de tester ce genre d’occupation. Pour moi cela a été une superbe découverte qui me manque parfois. Cependant, le manque des enfants et petits-enfants nous a fait rejoindre le bercail.

Et de Brignoles à Saint-Mard mais toujours avec la frite… et la cyclo-frite!

Cette vie professionnelle fut un parcours chahuté, mais que je ne regrette absolument pas, car les contacts humains et tous les échanges que j’ai eus avec des personnes de toutes origines ont été très enrichissants et m’ont conduit à ce que je réalise aujourd’hui: essayer dans la mesure de mes moyens d’améliorer notre vie de tous les jours, en communauté et en respectant toutes les personnes de bonne volonté, quelle que soit leur couleur ou leur origine.

Aujourd’hui, je ne vends plus de frites, je me contente d’en faire et d’en manger. Sauf une, une très grosse frite, que je place sur mon porte-bagage pour éloigner les automobilistes indélicats. Cette technique de la cyclo-frite a inspiré un sympathisant qui imagine tous les bienfaits de cette découverte et développe même quelques idées disons plus radicales pour le respect mutuel entre tous les usagers de la route. Cette chronique est à lire ici.

Quand vous serez dans l’isoloir, soyez vous-même, votez en votre âme et conscience, pensez à vous, à vos proches et à vos amis, et posez-vous la question VERS OÙ VEUT-ON ALLER?

Un petit clin d’œil à notre séjour dans le sud

Un jour à quelques minutes de la fermeture de notre baraque à frite, nous avons été attaqués par un petit gaillard armé d’un pistolet (vrai ou pas???).
J’ai vu rouge et je l’ai mis en fuite à coups de gouttes de blanc de bœuf bouillantes! Voici quelques photos de cet épisode cocasse… après coup!!!